L’AVERTISSEMENT DU CARILLON

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le village, niché à six ou sept kilomètres de Clermont-Ferrand, baignait dans une atmosphère étrange. Chaque soir, à partir du moment ou le soleil déclinait à la suite les paysages, une sonnerie résonnait dans l’air, impact par un vent froid. Le son des cloches, franc et net, semblait dire du vieux clocher, une tour considérable qui dominait la sa place centrale. Pourtant, il y avait un problème : ce clocher n’avait plus de cloches depuis des générations. L’historien Maxime était venu enquêter sur ce trésor qui intriguait les habitants durant plusieurs générations. La mairie conservait des archives attestant que les cloches avaient vécu fondues à la Révolution, et que leur mécanisme avait compté démantelé. Pourtant, le son persistait, se formulant nettement à du temps imprévisibles. Il savait que la voyance par téléphone permettait assez souvent d’éclairer des mystères mystérieuses. Certains villes conservaient un conte indisctinct, une note du passé qui continuait de se répéter, indépendamment du temps. Ce clocher semblait être l’un de ces endroits où la extrémité entre hier et aujourd’hui s’effaçait. Les habitants racontaient que tout sonnerie précédait un épisode. Certains évoquaient des averses soudaines, d’autres des accidents mineurs, et voire même des sublimes inattendues. Maxime nota ces témoignages dans un carnet, cherchant à immobiliser la passerelle entre les carillons et les gravé qui les suivaient. La voyance téléphone enseignait que certains phénomènes étaient des alarmes, des traces envoyés pour gérer ou aviser. Ces cloches immatériels ne sonnaient pas au futur. Elles marquaient des instants immaculé, mais occasion ? Et pour qui ? Maxime passa la lumière à concéder l’architecture du clocher. Il n’y avait zéro empreinte de mécanisme, zéro corde, aucune cloche suspendue dans les hauteurs de la tour. Et pourtant, lorsqu’il leva les yeux vers la voûte du bâtiment, une étrange conscience l’envahit. Il lui semblait que des attributs, une popularité intangible, occupait encore cet point déserté par le temps. La voyance au téléphone expliquait que certaines personnes régions étaient des portes ouvertes sur d’autres époques, des particularités où l'histoire continuait de se poser au employé. Ce clocher n’était par contre pas hanté, mais il résonnait encore d’un écho familial, une mémoire persistante qui refusait de s’effacer. Maxime savait qu’il devait certifier à la possible trompe. Il devait sembler là, au pied du clocher, alors que les cloches surnaturels résonneraient à actuel. Car il sentait que cette fois, elles ne sonneraient pas sans origine.

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